BOX OFFICE Rang Titre Réalisateur Total des entrées France Date de sortie 1 Batman Tim Burton 251.19 1989 2 L.A.Confidential Chris Hanson 60.14 1997 3 Wayne's World 2 Stephen Surjik 47.97 1993 4 Blind Date Blake Edwards 39.32 1987 5 Final Analysis Phil Joanou 28.59 1992 6 Never say Never again Irwin Kirshner 28.00 1982 7 The Natural Barry Levinson 25.00 1984 8 The Getaway Roger Donaldson 16.10 1994 9 Cool World Ralph Bakshi 14.11 1992 10 My Stepmother is an alien Richard Benjamin 13.85 1988 11 The Marrying Man Jerry Rees 12.45 1991 12 No Mercy Richard Pearce 12.30 1986 13 9 1/2 weeks Adrian Lyne 6.73 1986 14 The Real McCoy Russel Mulcahy 6.47 1993 15 Nadine Robert Benton 5.67 1987 16 Prêt-à-Porter Robert Altman 5.86 1994 17 Fool for love Robert Altman 0.47 1985 Commentaires Kim Basinger Kim Basinger c'était d'abord la belle blonde dans les films, une femme idéale pour Edwards comme pour Altman, princes de la satyre, mais plus trop rois du Box Office. Bizarrement c'est avec l'univers de Burton, que Basinger obtiendra son plus important succès, et de très loin, puisque Batman assurera 413 millions de $ de recettes dans le monde!. Le sex-symbol s'auto parodie dans certains films suivants, le temps d'un caméo, souvent, mais pas la moindre vague au B.O. Basinger n'a pas eu de chance. Ses rôles sérieux n'ont pas cartonné. Ses rôles "populaires" ont été des flops. Et malgré toutes les stars mâles (de Willis à Gere en passant par Val Kilmer), elle n'a jamais eu de films en haut du tableau. Au point qu'elle a interrompu sa carrière durant 3 ans. La femme était plus adorée pour son physique que pour son talent. Un seul rôle résume sa carrière: 9 semaines et demie, un bide, mais tout le monde a la Kim en tête. Etrangement, son parcours est très similaire à celui de son mari Alec Baldwin avec une creux depuis 93-94... Mais là changement de statégie. Elle recherche des scénarri, des histoires, des auteurs. Et de la qualité. Quitte à faire des seconds-rôles. Variety, en $ courants, avril 98