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Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes. |
(c) Ecran Noir 96 - 24 |
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Production : Peter Fudakowski
Distribution : MK2
Réalisation : Gavin Hood
Scénario : Gavin Hood
Montage : Megan Gill
Photo : Lance Gewer
Décors : Emelia Weavind
Son : Shaun Murdoch
Musique : Mark Kilian, Paul Hepker
Costumes : Nadia Kruger, Pierre Vienings
Maquillage : Tania Brooke
Durée : 94 mn
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Presley Chweneyagae : Tsotsi
Kenneth Nkosi : Gorille
Mothusi Magano : Boston
Zenzo Ngqobe : Boucher
Terry Pheto : Miriam
Zola : Fela Ndlovu
Rapulana Seiphemo : John
Nambitha Mpumlwana : Pumla
Nonthuthu Sibi : Le bébé
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Mon Nom est Tsotsi (Tsotsi)
Afrique du Sud / 2005
19.07.06
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Soweto, un bidonville de Johannesburg, en Afrique du Sud. Tsotsi (qui veut dire "voyou") a 19 ans et fait partie des milliers de jeunes défavorisés, livrés à eux-mêmes, sans autre ressource que le vol et le crime. Orphelin et sans aucun souvenirs de son enfance, il vit aux côtés de jeunes gangsters qui, comme lui, semblent avoir ni passé, ni ambition et vivent dans une violence perpétuelle. Dans cette bande se trouvent Boucher, un meurtrier de sang-froid, Boston, un instituteur raté et Gorille, un monsieur-muscles aux neurones peu agiles. Tout bascule pour Tsotsi le soir où, après avoir un peu trop bu, il tabasse son ami Boston dans un accès de colère, traverse le bidonville et se retrouve dans un quartier huppé à voler une voiture après avoir tiré sur sa propriétaire. Mais un imprévu se trouve sur la banquette arrière: un bébé se met à pleurer… Tsotsi abandonne le véhicule et s'enfuit avec le nourrisson en direction du ghetto.
Marie
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