Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



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 (c) Ecran Noir 96 - 24


  

Production : Charles Gassot, France 2 Cinéma
Distribution : Pathé
Réalisation : Pierre Jolivet
Scénario : Pierre Jolivet, Simon Michaël
Montage : Yves deschamps, Charlotte Theillard
Photo : Pascal Ridao
Décors : Denis Renault
Son : Pierre Excoffier
Musique : Manu Katche
Durée : 102 mn
 

Roschdy Zem : Zak
Marie Gillain : Mélanie
Jean-Paul Rouve : Denis
Adrien Jolivet : Kevin
Arlette Thomas : Mme de Marthod
Nicolas Marie : Maître Dessax
 

site internet du film
 
 
La Très Très Grande Entreprise


France / 2008

05.11.2008
 





Planet Battle. Pierre Jolivet : "L’idée de départ était de faire un film sur la mondialisation. Pas de dénoncer aveuglément toutes les sociétés qui gagnent de l’argent et qui, grâce à cela, font travailler du monde. Mais s’attaquer à celles qui sont prêtes absolument à tout pour avoir « une croissance à 2 chiffres » à la demande des actionnaires. Et ce qui représente le mieux ce phénomène, ce sont souvent ces multinationales inatteignables, indestructibles, ces mastodontes face auxquels le simple citoyen se sent désemparé, désarmé. En changeant de taille, l’entreprise change de nature. Amie dans Ma petite entreprise, elle est ici l’ennemie. Mais le combat est inégal et semble désespéré. C’était ça le pari du film, mettre de l’allégresse dans une situation désespérée, faire un film engagé dont le rire est le passeport. Car faire un film militant, c’est bien, c’est courageux, mais il est rarement vu par ceux que ça concerne. Fred parlait du chômage, peu de chômeurs l’ont vu, il n’a marché que dans les centres-villes. D’où mon désir de passer par la comédie. Montesquieu soutenait : « on dit souvent en badinant des choses très sérieuses »."
 
in DP
 
 
 
 

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