Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



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 (c) Ecran Noir 96 - 24


  

Production : Rigolo Films 2000, Novo Arturo films, TF1 films, Le Studio Canal +
Distribution : PolyGram Film distribution
Réalisation : Dominique Farrugia
Scénario : Dominique Farrugia, Dominique Mezerette
Montage : Marie-Blanche Colonna
Photo : Pascal Gennesseaux
Décors : Olivier Radot
Son : Vincent Arnardi, Michel Filippi, Jacques Thomas Gérard
Effets spéciaux : Daniel Trujillo
Maquillage : Sophie Harvey  
Durée : 95 mn
 

Thierry Lhermitte : Maxime de Labardière
Gérard Jugnot : Gérard Ravanelli
Aure Atika : Sandrine Athan
Zinedine Soualem : Gilles le garagiste
Lionel Abelanski : Serge
Didier Bénureau : le chef de cabinet
Jean-Pierre Cassel : Pierre-Jean Guisard
Alain Chabat : le curé
Marina Foïs : l invitée aux pétard
Jean-Paul Rouve : Jean-Frédéric
 

Site officiel
 
 
Trafic d'influence


France / 1999

31.03.99
 

Après Delphine 1 - Yvan 0, Dominique Farrugia offre au spectateur une oeuvre totalement différente de la précédente. Même si le ton de la comédie reste d'usage, le cinéaste opte pour un film qui bouge. Et il est partout: à la production, à la réalisation, à l'écriture, et il a aussi un petit rôle. Un véritable homme orchestre.





ENTRETIEN AVEC LE REALISATEUR

D'où vous est venue l'idée de Trafic d'influence ?
Dominique Farrugia : Je ne sais plus d'où est venue l'idée de Trafic d'influence. Avec Mezerette, j'ai produit un court métrage écrit par Mezerette et Hazanavicius... Dominique Mezerette avait l'idée d'un convoi de prisonniers, avec des gens d'extractions différentes, et moi, j'avais envie de faire un truc pendant une grève générale, mais je ne savais pas quoi exactement et on a mêlé les deux idées et puis c'est parti comme ça.

Trafic d'influence, c'est votre deuxième film. Est-ce qu'il y a un syndrome du deuxième film ?
D.F. : En l'occurrence, non ! Parce que le premier n'a pas été un énorme succès. Il n'y pas vraiment de syndrome. Non, moi, j'avais envie de faire ce film-là, de faire un film d'action. J'avais envie de faire un vrai film qui bouge, à l'inverse de mon premier qui était vraiment un petit film fait rapidement en cinq semaines et demie, filmé caméra à l'épaule. Une histoire d'amour qui était commentée par Thierry Roland et Jean-Michel Larqué. A cette époque, je voulais faire quelque chose de rapide, dans l'urgence. Alors que là, on a tourné onze semaines, deux, trois caméras, parfois des ralentis, des motos qui explosent, des voitures qui explosent, des poursuites en voitures. Tout à l'heure, on a fait un plan avec des mitraillages dans tous les coins. J'aime bien ça aussi. Moi, j'aime bien les metteurs en scène qui arrivent à tout faire, du style Ron Howard, ou ces gens-là, qui sont capables de faire une comédie d'aventures et après de passer à un film beaucoup plus dur ou à Apollo 13. J'aime bien ces gens-là...
 
chris
 
 
 
 

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