On peut parler du scénario, habile et brillant (légitimement oscarisé), de l’interprétation, un véritable travail d’orfèvrerie signé Anthony Hopkins (logiquement oscarisé), mais The Father c’est avant tout une histoire de montage et de décor. Car, si le spectateur est aussi troublé et confus que le vieil Anthony, à la mémoire