Les déclarations d’amour au cinéma n’en finissent pas, telle une dernière séance psy post-confinement. Après le foutraque et flamboyant Babylon, l’intimiste et passionnant The Fabelmans, c’est au tour d’Empire of Light, subtil et envoûtant, parfois drôle malgré les drames, de s’enflammer pour le 7e art et l’expérience en salles. Ici