Gilles Lellouche avait surpris, plutôt agréablement, avec son film précédent, Le Grand bain, portrait relativement juste d’hommes vulnérables dans un monde où il n’étaient déjà plus vraiment dominant. Avec L’amour ouf, il revient à son goût pour le cinéma de gangster (Narco), mixée à une histoire romantique, dans une France