L’exposition consacrée à Wes Anderson, qui s’ouvre à la Cinémathèque française jusqu’au 27 juillet, tient toutes ces promesses d’un voyage explorateur de l’œuvre esthétique du cinéaste. De Bottle Rocket jusqu’à Asteroïd City, on flâne ainsi dans son cinéma, parfois excentrique, souvent mélancolique, toujours romantique. Son ironie et son inventivité sont