La ressortie dans les salles, grâce aux bons soins de l’indispensable société de distribution Malavida, de quatre courts métrages de Youri Norstein, permet de se pencher une nouvelle fois sur l’oeuvre du réalisateur d’animation russe, aussi mythique qu’insaisissable, auteur – en plus de 50 ans de carrière – d’une poignée