Wes Anderson avait des envies de Far-West et d’années 1950. Une forme de nostalgie très américaine pour le cinéaste, qui a déjà exploré divers univers esthétiques : la Middle-Europe, la France gaulliste, les fonds marins, Manhattan, la côte de la Nouvelle Angleterre ou encore l’Inde. Avec Asteroid City, il s’offre