C’est le Festival consacré à toute la diversité des cinémas d’Amérique Latine, de haut en bas et surtout de long et large avec, pendant 10 jours, environ 100 films projetés : longs-métrages, documentaires, courts, animation, quelques films de patrimoine et surtout de nombreux films en avant-première.
Le 35e Festival CinéLatino de Toulouse va particulièrement mettre en avant trois focus : ‘Brésil, cinéma et politique‘, ‘Cinéma Colombien contemporain‘ (dont L’Eden qui vient de sortir en salles), et autour de ‘RéalisActrices‘, une riche sélection de films de femmes avec notamment des comédiennes devenues réalisatrices (Manuela Martelli, Ana Katz, Angeles Cruz, Grace Passô). Le Festival portera également un regard particulier sur les films (longs et courts métrages) de Tatiana Huezo, membre du jury.
CinéLatino propose de « découvrir sur grand écran la richesse et la diversité des cinématographies d’Amérique latine. Par-delà le genre et la durée, les choix esthétiques et narratifs, les films sélectionnés contrarient les discours dominants et optent souvent pour des récits intimes qui s’inscrivent dans le réel, ouvrent l’horizon sur les expériences singulières d’habiter le monde. »
Du côté de la compétion des longs-métrages de fiction, ils sont au nombre de 11 pour un Grand Prix du CinéLatino de Toulouse :
La Barbarie, de Andrew Sala (Argentine)
Trenque Lauquen, de Laura Citarella (Argentine)
Carvão (Charbon), de Carolina Markowicz (Brésil)
Brujería (Sorcellerie), de Christopher Murray (Chili)
Anhell69, de Theo Montoya (Colombie)
Bajo un sol poderoso, de Kiki Álavarez (Cuba)
Dos Estaciones, de Juan Pablo González (Mexique)
Tótem, de Lila Avilés (Mexique)
Zapatos rojos, de Carlos Eichelmann Kaiser (Mexique)
Las Hijas (Les Filles), de Kattia G. Zúñiga (Panama)
Diógenes, de Leonardo Barbuy La Torre (Pérou)