1950. Après avoir survécu à un crash d’avion au dessus des Balkans, le riche homme d’affaires Zsa-zsa Korda nomme sa fille unique, une religieuse, comme unique héritière de sa fortune. Alors que Korda se lance dans une nouvelle entreprise, ils deviennent rapidement la cible de magnats intrigants, de terroristes étrangers
Étiquette : Cinéma américain
Cannes 2025 | Eddington : Ari Aster dissèque l’Amérique contemporaine dans une satire sociale plus potache que politique
Mai 2020 à Eddington, petite ville du Nouveau Mexique, la confrontation entre le shérif et le maire met le feu aux poudres en montant les habitants les uns contre les autres. Enfant prodige du cinéma américain indépendant, Ari Aster n’aime rien tant qu’ausculter son époque, quitte à verser de la
Cannes 2025 | 5 choses à savoir sur Ari Aster
Le cinéaste Ari Aster est sélectionné pour la première fois en compétition à Cannes avec son film Eddington (en salles le 16 juillet). Cette fois-ci il suit la confrontation entre un shérif et le maire d’une bourgade américaine. De quoi metre le feu aux poudres en montant les habitants les
Cannes 2025 | Mission : Impossible – The Final Reckoning : Tom Cruise joue les messies
Ethan Hunt a la clé qui donne accès à l’Entité. Mais il lui faut trouver le lieu où le code source est abrité : un sous-marin nucléaire russe disparu il y a treize ans. Son plan est simple mais le timing est serré. L’Entité prend progressivement le contrôle de tous
Wes Anderson à la Cinémathèque française : de lumineux objets plein de désirs
L’exposition consacrée à Wes Anderson, qui s’ouvre à la Cinémathèque française jusqu’au 27 juillet, tient toutes ces promesses d’un voyage explorateur de l’œuvre esthétique du cinéaste. De Bottle Rocket jusqu’à Asteroïd City, on flâne ainsi dans son cinéma, parfois excentrique, souvent mélancolique, toujours romantique. Son ironie et son inventivité sont
2025 : 7 dossiers brûlants sur le feu
De l’argent, il va en être question cette année. Le financement public débande, les financiers privés se livrent une guéguerre d’ego, et c’est sans compter sur un modèle économique qui vit une révolution à toutes ses étapes. Mais il n’y a pas que le fric dans le cinéma. De la
The Brutalist : la quintessence de la beauté et la déliquescence de l’humanité
Le cinéma américain n’est peut-être pas tout à fait dans les limbes. Que ce soit des productions coûteuses comme Oppenheimer ou Dune, ou des films d’auteurs indépendants tels Anora (6 millions de dollars de budget) ou Nosferatu, et même si nous avons quelques réserves sur tous ces films, on constate
David Lynch (1946-2025) : une sublime œuvre protéiforme
Eraserhead Après quatres courts et moyens-métrages réalisés dans le cadre universitaire, David Lynch a travaillé sur son premier long-métrage : « Eraserhead ». D’une noirceur sans égale, ce véritable monument maladroit et génial explore les tréfonds troubles de l’âme en usant abondamment de symboles psychanalytiques évidents, reflets prometteurs de l’univers
Wicked, 1ère partie : un musical de Broadway qui ensorcelle (enfin) le grand écran
Broadway et Hollywood ne font pas forcément bon ménage. Les deux « industries » culturelles, l’une à New York, l’autre à Los Angeles, ne sont pourtant pas si rivales. Avant de vous parler de leur nouvelle progéniture, Wicked, qui sort en salles le 4 décembre et devrait enchanter les spectateurs durant les
Cycle de films inédits : Sean Baker et les oubliés de l’Amérique
Anora, Palme d’or cette année, sort le 30 octobre. Le film, qui a toutes les apparences d’une comédie, devrait être le plus gros succès de son réalisateur, Sean Baker. Cet été, ses trois derniers films – Tangerine, The Florida Project et Red Rocket – avaient bénéficié d’une ressortie en salles. Sorti en